PARIS - L’affaire de la statue égyptienne Sésostris III ressurgit plus de huit ans après son achat à Drouot par les époux Pinault.
Ceux-ci, deux fois déboutés en instance puis en appel, restent non convaincus de son authenticité. Me Alain Bénabent, leur avocat, a plaidé le 23 janvier devant la Cour de cassation pour que toute polémique impliquant un avis autorisé soit révélée avant la vente d’un objet aux enchères par une publication dans le catalogue de vente. Il a été suivi par le ministère Public qui a conclu en faveur de la cassation. La Cour rendra son arrêt fin février.
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Le retour du pharaon
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°252 du 2 février 2007, avec le titre suivant : Le retour du pharaon