La galerie Minsky présente une version contemporaine du bestiaire fantastique, thème qui a pris toute sa dimension au Moyen Âge, puisant très certainement ses origines de l’ouvrage grec du IIe siècle avant J.-C.
Physiologus, où l’auteur (anonyme) associe à chaque animal, réel ou légendaire, une signification. L’exposition réunit des peintures et sculptures illustrant des monstres de l’Orient et de l’Antiquité gréco-romaine de Leonor Fini, l’artiste phare de la galerie. Sont aussi présentées les œuvres de l’Anglais Allington – qui a travaillé sur les sphinges –, Corneille, pour ses oiseaux, Lucien Coutaud, avec des chevaux décomposés, Michel Henricot, Wilfredo Lam, François Martin, de l’Italien Stanislao Lepri et de l’Ukrainien Anton Solomoukha.
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Le bestiaire fantastique
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°186 du 6 février 2004, avec le titre suivant : Le bestiaire fantastique