La nouvelle exposition personnelle de Laurent Grasso, « Otto », propose un corpus d’une vingtaine d’œuvres ; sculptures spirales, machine de Steiner ou sphères de verre s’articulant autour du film éponyme tourné sur les terres aborigènes.
C’est une plongée dans l’invisible, emplie de fréquences sonores. Sans réelle guidance, le plasticien français laisse place à l’imagination des visiteurs dans une narration autour du pouvoir des ondes. Pourtant, cette « anthropologie futuriste » utilise des technologies de pointe : drones, caméras thermiques et hyperspectrales pour capter l’immatériel. Les prix sont communiqués à la demande.
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Laurent Grasso - En galerie
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« Laurent Grasso. Otto »,
Galerie Perrotin, 76, rue de Turenne, Paris-3e,
www.perrotin.com
Cet article a été publié dans L'ŒIL
n°716 du 1 octobre 2018, avec le titre suivant : Laurent Grasso - En galerie