PARIS - «Â On rencontre peu de pièces d’archéologie chez les marchands de dessins d’architecture, et inversement, peu d’œuvres sur papier chez les marchands d’antiquités.
Or les deux sont liés », explique Daniel Greiner. Le galeriste parisien s’est associé au marchand Antoine Tarantino le temps d’une exposition consacrée à l’antique. Coupes, cratères et vases grecs sont mis en regard de relevés de reliefs archéologiques par Boivin ou d’un projet de vase à la sanguine par Bouchardon. Des vues de Pompéi à l’aquarelle par différents peintres du XIXe et des fantaisies architecturales renvoient aux voyages et aux découvertes archéologiques. À la croisée des chemins, une maquette du XIXe en marbre représentant le Parthénon a pu servir de modèle pour des élèves en architecture.
Galerie Daniel Greiner, 14, passage Véro-Dodat, 75001 Paris, tél. 01 42 33 43 30. Jusqu’au 3 mars.
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L’Antiquité révélée
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°253 du 16 février 2007, avec le titre suivant : L’Antiquité révélée