Il aura fallu plus de 20 ans à Nicolas et Alexis Kugel pour rassembler une cinquantaine d’œuvres façonnées à partir d’un matériau qui fascine depuis l’Antiquité : l’ambre.
L’origine de cette substance a fait l’objet de nombreuses hypothèses, jusqu’à ce que, en 1757, le savant russe Mikhaïl Lomonossov découvre qu’il s’agit d’une résine d’arbre fossilisée. Celle des pièces de la galerie provient d’une forêt préhistorique située sous la mer Baltique, côté sud, dont l’extraction à partir du XVIe siècle a été le point de départ d’un formidable commerce. La présentation – première du genre en France – mêle sculptures, coffrets, coupes et jeux, démontrant avec quelle habileté les artistes de l’époque ont su mettre en valeur cette matière, dont la couleur se décline du rouge sombre translucide au blanc opaque.
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L’ambre en majesté - En galerie
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°769 du 1 novembre 2023, avec le titre suivant : L’ambre en majesté - En galerie