PARIS - « Japonisant en diable », s’était exclamé François Dufrêne en 1957, tandis qu’il découvrait, à l’initiative de Raymond Hains, des morceaux d’affiches entreposés dans une usine.
Succombant à l’esthétique des affichistes, Dufrêne a, depuis lors, exécuté de nombreux collages dont une sélection des années 1960-1970 est actuellement présentée à la galerie Véronique Smagghe, à Paris.
« François Dufrêne », galerie Véronique Smagghe, 10, rue Saintonge, 75003 Paris, tél. 01 48 04 75 37. Jusqu’au 30 juillet.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
L’affiche Dufrêne
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°240 du 23 juin 2006, avec le titre suivant : L’affiche Dufrêne