Pour illustrer le thème de l’harmonie, la galerie Éolia a choisi des sculptures en bois doré des XVIIe et XVIIIe siècles représentant le soleil – sphère parfaite –, des dessins de jardins – havres de paix ou de méditation – signés notamment Henri de France, Manuel Canovas, Gilone de Clermont-Tonnerre, ainsi qu’une collection de polyèdres (solides s’inscrivant dans un cercle) réalisés par un mathématicien italien de la Renaissance pour accompagner ses recherches sur le nombre d’or. ("Soleils, Jardins et Polyèdres", 10 rue de Seine, tél. 01 43 26 36 54, jusqu’au 8 juillet).
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
A la recherche de l’harmonie
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°106 du 26 mai 2000, avec le titre suivant : A la recherche de l’harmonie