Liberté Nuti, expert au département des Gravures chez Christie’s, interrogée dans le cadre de l’article du JdA n° 189 (19 mars 2004) sur la cote de Miró, apporte des précisions.
« Dans le domaine des estampes, les eaux-fortes de Miró, techniquement souvent très complexes, font les prix les plus importants, à l’exemple d’Équinoxe dont les prix peuvent monter jusqu’à 60 000 euros. Les gros prix pour les lithographies concernent surtout les exemplaires de tête de certains livres illustrés, comme Suite pour Ubu roi (39 planches, Tériade, 1966) qui a été adjugé 94 480 livres sterling (147 743 euros) chez Christie’s à Londres le 3 décembre 2002 et Le Lézard aux plumes d’or (15 planches deux suites de 13, Broder, 1971), qui a atteint 59 750 livres sterling (93 433 euros) dans la même vente. Les planches du Lézard aux plumes d’or se vendent individuellement entre 1 500 et 7 500 euros selon leur intérêt graphique. »
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
La cote des gravures de Miró
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°191 du 16 avril 2004, avec le titre suivant : La cote des gravures de Miró