Le 14 novembre à Drouot, la SVV Beaussant-Lefèvre proposera six lettres de l’écrivain Louis Ferdinand Céline à sa maîtresse Lucienne Delforge, qui seront vendues sur enchères provisoires avec faculté de réunion, sur une estimation globale de 12 000 euros. Dans l’une d’elles datée d’août 1935, époque tumultueuse de leur liaison, Céline évoque les « effroyables épreuves » de sa jeunesse.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
La correspondance amoureuse de Céline
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°180 du 7 novembre 2003, avec le titre suivant : La correspondance amoureuse de Céline