Jules de Balincourt a une signature identifiable, et cette nouvelle série de fantasmes aux couleurs psychédéliques n’y déroge pas.
On y découvre cependant un travail moins politique, mais qui repose toujours sur une certaine forme de dualité. Ses toiles sont des espaces contradictoires, oscillant entre abstraction et figuration, entre paysage et intérieur, utopie et réalité.
Cet article a été publié dans L'ŒIL n°735 du 1 juillet 2020, avec le titre suivant : Jules de Balincourt - En galerie