PARIS
Peut-on s’inscrire dans la tradition et bouleverser la peinture ? C’est ce qu’est parvenu à faire Jean-Pierre Pincemin (1944-2005), dont l’œuvre est faite d’allers-retours entre abstraction et figuration, peinture et sculpture – dans la mesure où distinguer l’un et l’autre serait pertinent chez l’artiste.
De ses années Supports/Surfaces à ses « arbres de la connaissance », des Palissadesà l’exposition de « L’année de l’Inde » (1986), l’artiste n’a cessé de tracer un chemin solitaire, les yeux tournés vers les maîtres du Louvre pour mieux regarder vers l’avant. La deuxième rétrospective de l’artiste, après celle de 2011, chez Jean-Jacques Dutko nous le rappelle superbement, où la valeur de cette indépendance démarre à 45 000 euros pour une peinture de petite dimension. Son titre : « Jubilation ». Ce qui est l’état dans lequel on ressort de l’exposition.
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Jean-Pierre Pincemin - En galerie
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°737 du 1 octobre 2020, avec le titre suivant : Jean-Pierre Pincemin - En galerie