On le sait, le soutien des sponsors comme les Galeries Lafayette, son partenaire officiel pour la quatrième année consécutive, mais aussi Audi, Clifford Chance, Chaumet, Guerlain, Orange… est nécessaire à l’équilibre économique de la Fiac.
Pourquoi ne pas imaginer, face à la concurrence des foires comme Frieze ou Bâle, qu’il puisse aussi constituer une valeur ajoutée, par exemple sous la forme d’un service proposé aux participants, tout en offrant une contrepartie à la marque, presque un retour immédiat sur investissement en termes de visibilité ? Cette quadrature du cercle aurait pu servir de modèle à l’opération lancée durant cette édition par Guerlain avec son Studio « Make Up Flash » ouvert en coulisses aux galeristes – une cible de choix – soucieuses de se refaire une beauté loin de la foule. Alors que l’exposition « Présomption d’insouciance » du parfumeur, curatée par Caroline Messensee à la Maison Guerlain des Champs-Élysées, figurait cette année encore sur le parcours privé de la foire, l’idée d’inscrire davantage ce partenariat dans l’espace de l’événement est née d’une réflexion entre Béatrice Germain, directrice de la communication et des partenariats pôle culture et loisirs chez Reed Expositions, Sonia Voskoboinikoff, directrice de la communication chez Guerlain, et Caroline Messensee. Initiative discrète et, quasiment, escamotée au fond d’un couloir nu. Dommage, l’idée de ce boudoir secret ne manquait pas de charme.
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« Guerlain, pleins fards sur la Fiac ? »
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°652 du 1 décembre 2012, avec le titre suivant : « Guerlain, pleins fards sur la Fiac ? »