PARIS - La maison de ventes Piasa voulait donner un nouvel élan à son département de photographies. Le 28 mars à Drouot, à l’initiative de son expert Agnès de Gouvion Saint-Cyr, elle a organisé une vacation de 188 « Photographies russes et soviétiques de 1900 à nos jours », sur une estimation de 250 000 euros.
Trop novatrice, la vente n’a pas obtenu le succès escompté. Seuls 64 lots ont trouvé acquéreur pour 95 000 euros. La plus haute enchère a récompensé une épreuve des années 1980 de Dmitri Baltermants illustrant la Seconde Guerre mondiale ; Grief, Kerch (1942) est partie à 4 500 euros. Selon les amateurs présents lors de la vente, le marché français n’est pas encore mûr pour ce genre d’œuvres.
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Flop pour la photographie russe
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°345 du 15 avril 2011, avec le titre suivant : Flop pour la photographie russe