TOULOUSE - Le ralentissement économique aura eu raison de la galerie Sollertis à Toulouse, qui a dû fermer ses portes après vingt-cinq ans d’activité.
Son directeur, Brice Fauché, qui n’avait pu participer à des foires en 2012, reconnaît une chute de son chiffre d’affaires de près de 90 %. Le galeriste ne sait pas encore comment il va rebondir, « mais ce sera toujours à Toulouse ». Cette fermeture pose le problème du modèle économique des galeries en régions, quand Paris continue d’exercer une irrésistible force d’attraction.
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…et Sollertis ferme à Toulouse
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°383 du 18 janvier 2013, avec le titre suivant : …et Sollertis ferme à Toulouse