En réunissant vingt-deux artistes, peintres ou photographes, l’exposition collective « Déclics analogiques », titre tiré d’une citation d’André Breton, se propose de susciter un dialogue complice, via moult analogies formelles et contrepoints, entre photographie et peinture.
Conçue à quatre mains par Catherine Issert, qui s’engage aux côtés des peintres et plasticiens, et Anna-Patricia Kahn, de la Clair By Kahn Gallery de Zurich, engagée pour la photographie, cette manifestation, en multipliant les conversations savoureuses entre peintres et photographes (Alberola/Coburn, Bart/Halsman, Traquandi/Savelev…), questionne avec pertinence le vocabulaire des deux médiums sur fond d’opposition entre netteté et flou, figuration et abstraction, transparence et opacité. Les prix : entre 4 000 et 160 000 euros.
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Déclics analogiques - En galerie
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°731 du 1 février 2020, avec le titre suivant : Déclics analogiques - En galerie