C’est un étroit chemin qu’il faut emprunter pour déambuler dans le dernier pavillon aux allures psychédéliques, car doté de miroirs discordants, de Dan Graham.
Pour appréhender l’œuvre, il faudra la rapprocher d’une certaine notion du baroque, proche de Larry Bell ou de John Chamberlain. Et pour la compléter, signalons la projection de deux films, de 1984 et de 2004, le 8 novembre au Luminor.
Cet article a été publié dans L'ŒIL n°729 du 1 décembre 2019, avec le titre suivant : Dan Graham - En galerie