Présentée dans l’annexe arlésienne de la galerie Sultana, cette exposition fait écho, explique son commissaire, au désir intempestif de s’adonner à la violence.
Faisant référence au théâtre de la cruauté d’Artaud, Noam Alom convoque les énergies féroces de la création quand celle-ci transgresse les normes sociales. L’affiche réunit une quinzaine d’artistes parmi les plus intéressants apparus ces dernières années sur la scène internationale. De Jesse Darling (Turner Prize 2023) dont les sculptures exposées associent une muselière pour chien, des crochets de boucher et un oiseau, à Trevor Yeung et ses plantes sanglées en passant par les peintures sur velours de Julian Farade.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Cruella De-Vil - En galerie
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°775 du 1 mai 2024, avec le titre suivant : Cruella De-Vil - En galerie