Il y a quelque chose de chamanique et de surréaliste dans le travail métissé de Coco Fronsac, née en 1962 à Paris. Ses productions érotiques hybrides, qui mixent photographies et peintures, semblent tout droit sorties d’un cabinet de curiosités à la Breton. Sa dernière série inédite La Belle et les Bêtes, qui jouxte des céramiques du jeune artiste franco-béninois King partageant une même fascination pour l’ailleurs, dévoile des femmes nues arborant des masques ancestraux renvoyant à des représentations animales. Les premiers prix, pour ces troublantes gouaches sur photographie ancienne, débutent aux alentours de 1 000 euros.
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Coco Fronsac - en galerie
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Cet article a été publié dans L'ŒIL n°682 du 1 septembre 2015, avec le titre suivant : Coco Fronsac - en galerie