PARIS
Paris. Après l’annonce, il y a quelques semaines, de la fermeture de la galerie Bugada & Cargnel, c’est une autre enseigne bellevilloise qui s’apprête à baisser le rideau en juin, en butte à des difficultés économiques.
Installé dans ce quartier en 2011, après avoir fait ses armes rue Louise-Weiss, dans le 13e arrondissement, Samy Abraham s’était ancré sur les hauteurs de Belleville, attiré comme d’autres confrères par des loyers modestes et « une ligne, une manière de faire, une génération de galeristes et d’artistes ». Mais face aux mastodontes du marché et au système des foires, l’équation se révèle aujourd’hui complexe pour nombre de petites et moyennes galeries engagées dans la défense de la création émergente. « Sans recourir au second marché, être appuyé par des mécènes ou des financiers, il est très difficile de survivre avec une position marginale », constate le galeriste.
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Clap de fin pour la galerie Samy Abraham
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°501 du 11 mai 2018, avec le titre suivant : Clap de fin pour la galerie Samy Abraham