Antoine Catala joue avec le langage, Jan Kopp questionne le cycle du temps et Gustavo Speridião détourne des images d’actualité.
« Chacun des trois protagonistes fabrique quelque chose d’une autre poésie, une manière silencieuse de hurler les formes et de ne pas s’en laisser conter… », explique Thierry Raspail, ancien directeur du Mac de Lyon et commissaire de l’exposition. Contrairement à ce que son titre pourrait suggérer, « Chronique du trouble : solos » est tourné vers le côté positif. L’ensemble interroge les signes avant-coureurs, ce qui précède un événement, et les petits troubles engendrant des plus grands, ce que l’on appelle l’effet papillon.
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Chronique - En galerie du trouble : Solos - En galerie
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°730 du 1 janvier 2020, avec le titre suivant : Chronique - En galeriedu trouble : Solos - En galerie