Dans l’histoire de l’art, le monochrome apparaît en 1915, avec le Carré noir de Malevitch, mais cette histoire n’aura que très peu retenu l’œuvre de Serge Charchoune (1888-1975), pourtant l’un des pionniers du genre.
De ses débuts en 1923 lors de son retour de Berlin à Paris jusqu’à la fin de sa carrière, le monochrome constitue un fil conducteur de l’œuvre complexe de l’artiste russe. Pour cette exposition, les galeries Le Minotaure et Alain Le Gaillard proposent de redonner une place à ce travail délaissé en rassemblant une trentaine de pièces (entre 45 000 et 300 000 euros).
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« Charchoune. Monochromes »,
Galerie Le Minotaure, 2, rue des Beaux-Arts, Paris-6e, galerieleminotaure.net, et Galerie Alain Le Gaillard, 19, rue Mazarine, Paris-6e.
Cet article a été publié dans L'ŒIL
n°716 du 1 octobre 2018, avec le titre suivant : Charchoune - En galerie