Depuis dix ans, Me François de Ricqlès et Robert Montagut collaborent lors de ventes de céramiques et d’objets de curiosité qui auront lieu, cette année, les 22 et 23 octobre à Drouot-Richelieu.
Le Singe apothicaire, provenant d’une herboristerie créée en 1820 (80-90 000 francs), un mortier italien du XVIe siècle en bronze à la cire perdue (30-40 000 francs) ou une grande dent de narval entourée d’un serpent de bronze, création réalisée pour l’Institut pharmaceutique de Munich (45-50 000 francs), sont parmi les pièces dispersées.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Céramiques et objets de curiosité
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°113 du 20 octobre 2000, avec le titre suivant : Céramiques et objets de curiosité