L’octogénaire Roger Vilder n’a pas eu la reconnaissance méritée. C’est à ce titre que la Patinoire royale met son travail aux regards de différentes approches de l’art cinétique à travers une sélection d’une centaine d’œuvres.
Si Vilder fait bouger les lignes qui tantôt s’allongent, tantôt se rétrécissent, l’incontournable Pol Bury déplace les volumes dans un éloge de la lenteur, et le collectif LAb[au], actif depuis 1997 et descendant du mouvement, anime les surfaces, souvent avec des procédés élaborés, à l’instar de tableaux thermoréactifs.
Cet article a été publié dans L'ŒIL n°735 du 1 juillet 2020, avec le titre suivant : Ce Mouvement qui déplace les Lignes - En galerie