PARIS - Les ventes de voitures de collection se sont déroulées avec succès à Paris, les 16 et 17 février
au Salon Rétromobile pour Christie’s, et le 19 février au Palais des Congrès sous l’enseigne d’Artcurial. Malgré le retrait in extremis de sa star, l’Auto-Union de type-D de 1939 au palmarès contesté et au prix exorbitant, Christie’s a totalisé 7,2 millions d’euros avec 34 voitures sur 47 de vendues. En tête, une Talbot-Lago T26GS « Barquette » de 1951 a atteint 1,3 million d’euros. Plus étonnant, troisième du classement, un quadricycle à vapeur de Dion Bouton et Trepardoux, vers 1890, a été emporté à 709 750 euros, soit un record dans ce type de véhicule. Chez Artcurial, 60 % des automobiles présentées ont trouvé preneurs, à commencer par Peugeot Sport Prototype 905 de 1991 mise sur le marché par le constructeur et cédée pour 936 400 euros. Une Porsche 904 GTS de 1964 a été achetée par un amateur français pour 522 200 euros.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Ça roule pour les voitures de collection
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°254 du 2 mars 2007, avec le titre suivant : Ça roule pour les voitures de collection