La première édition du Salon international d’Art tribal avait surpris par l’ampleur de son succès l’année dernière, tant au niveau national qu’international. Près d’un millier d’œuvres d’origines aussi diverses que l’Afrique, l’Amérique, l’Australie ou l’Océanie, et pourtant réunies sous le terme générique d’« art tribal », participent à ce rendez-vous désormais incontournable.
Un événement destiné aux professionnels attirés par un marché au fort potentiel, mais aussi au grand public séduit, comme Picasso le fut en son temps, par les qualités formelles de cet art, ainsi que par sa dimension profondément rituelle et religieuse. Près de 10 000 visiteurs sont attendus cette année. Il semble que les arts premiers soient définitivement sortis de la confidentialité, bien avant la réalisation des projets conjugués du Louvre et du Musée des Arts et Civilisations du quai Branly.
Hôtel Dassault, Rond-point des Champs-Élysées, 16-19 septembre.
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Arts premiers, deuxième
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°509 du 1 septembre 1999, avec le titre suivant : Arts premiers, deuxième