Galeristes et collectionneurs espèrent que la 7e édition d’Artissima, la foire d’art contemporain qui s’est déroulée à Turin du 5 au 8 octobre marquera la véritable envolée de la foire.
La galeriste française Chantal Crousel, satisfaite de ses ventes d’œuvres de jeunes artistes français, suggère cependant qu’« il faudrait, pour faire d’Artissima une grande foire d’art contemporain, une sélection plus minutieuse des exposants et plus de grande publicité à l’étranger. » « Le salon a été de bonne qualité, même s’il est resté calme du côté des ventes, estime de son côté Georges Philippe Vallois. J’ai vendu un Paul McCarthy et je suis en contact avec un collectionneur pour une œuvre de Saverio Lucariello. » Pour Patrizia Sandretto Re Rebaudengo dont la collection sera présentée au Domaine de Kerguéhennec jusqu’au 10 décembre (tél. 02 97 60 44 44) : « Le succès de cette foire est dû à l’initiative des organisateurs qui ont invité une centaine de grands. Elle permet de confronter les jeunes artistes italiens à leurs homologues étrangers. Seuls les Américains sont absents. »
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Artissima, un bilan
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°113 du 20 octobre 2000, avec le titre suivant : Artissima, un bilan