PARIS
En partenariat avec la Fondation Hartung-Bergman, pour qui la galerie représente l’estate de la plasticienne, Jérôme Poggi, pour la quatrième exposition individuelle en ses murs de la peintre française d’origine norvégienne Anna-Eva Bergman (1909-1987), qui fut l’épouse de Hans Hartung, offre en deux parties (dessins des années 1930, peintures célestes), un bel aperçu de sa production diversifiée.
Jouxtant dix dessins appartenant à la collection Hartung-Bergman, encres de Chine et aquarelles conçues à l’origine pour un ouvrage culinaire rédigé par Bergman quand elle avait une vingtaine d’années, sept tableaux des années 1958/1977, mêlant peinture et feuilles de métal (prix allant de 50 000 à 200 000 euros), sont pleinement emblématiques des abstractions spirituelles de cette artiste protéiforme.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Anna-Eva Bergman - En galerie
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°720 du 1 février 2019, avec le titre suivant : Anna-Eva Bergman - En galerie