PARIS - Du traitement de l’image à travers l’ambiguïté du regard et de la perception, Mona Hatoum a fait une sorte de marque de fabrique efficace, entre attraction, séduction et répulsion.
Tout particulièrement lorsqu’elle s’attache à évoquer, sans emphase, l’impasse politique moyen-orientale et son cortège d’horreurs et d’injustices.
La galerie Chantal Crousel, à Paris, lui consacre une nouvelle exposition où les œuvres, à première vue précieuses, révèlent progressivement un contenu explosif, glacial et perturbant.
10, rue Charlot, 75003 Paris, tél. 01 42 77 38 87. Jusqu’au 24 avril.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Ambigu politique
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°321 du 19 mars 2010, avec le titre suivant : Ambigu politique