À la galerie Jeanne Bucher, humains et animaux copulent en toute impunité. Avec sa toute dernière série Stranger Than Paradise, constituée d’encres et de céramiques animalières, le Chinois Yang Jiechang, né en 1956, souhaite ouvrir en nous les portes de l’instinct afin de retrouver « la nécessité d’un état de nature, la conquête d’un esprit ouvert et la capacité à revenir à soi-même ». L’ensemble montré est envoûtant et témoigne d’une technique irréprochable.
Exposition en deux volets. Galerie Jeanne-Bucher, 53, rue de Seine, Paris-6e, jusqu’au 26 novembre 2011, et 5 et 7, rue de Saintonge, Paris-3e, jusqu’au 30 décembre 2011.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Yang Jiechang
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°640 du 1 novembre 2011, avec le titre suivant : Yang Jiechang