PARIS - Après « Jackson Pollock et le chamanisme » en 2008, la Pinacothèque de Paris, propose un point de vue inédit sur un artiste du XXe siècle. Cette fois-ci c’est l’œuvre d’Alberto Giacometti qui est examinée à la lumière de l’art étrusque. Le point de départ de la réflexion est mince : une exposition au Louvre, en 1955, qui aurait marqué l’artiste. Si le parallèle entre les formes filiformes des statuettes d’offrants et les sculptures de l’artiste est troublant, l’exposition peine à convaincre. Certes, Giacometti a pu être inspiré par le mobilier funéraire antique, mais le doute subsiste quant à l’hypothèse qu’il l’ait été spécifiquement par les Étrusques.
Pinacothèque de Paris, 28, place de la Madeleine, 75008 Paris, tél. 01 42 68 02 01. Jusqu’au 8 janvier 2012.
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Un parallèle hasardeux
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°353 du 23 septembre 2011, avec le titre suivant : Un parallèle hasardeux