Festival de photographie, aujourd’hui largement ouvert à toutes les disciplines, le Printemps de Cahors semble marquer le pas pour ses dix ans.
Malgré un thème – Sensitive – tout aussi vague que l’an passé, Christine Macel, déjà commissaire en 1999, n’a pas renoué avec le succès de sa précédente intervention. On peut toutefois, jusqu’au 2 juillet (tél. 05 65 35 30 05), profiter du Room for increased on parallel day, appartement photographique d’Annika von Hausswolff, ou encore de la projection de When I grow up, I want to be a cooker de Maria Marshall. D’autre part, le futur du festival reste incertain, alors que Marie-Thérèse Perrin, sa directrice, ne cache pas son intention de démissionner, arguant d’un manque d’intérêt des pouvoirs publics pour la manifestation. Une nouvelle « formule » du Printemps de Cahors devrait être dévoilée en septembre.
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Un Cahors moins goûtu
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°108 du 30 juin 2000, avec le titre suivant : Un Cahors moins goûtu