Togores reste au Gotha de la peinture une figure singulière.
Les nus aux gorges déployées et aux chairs fermes de celui qui se sentait “quelque peu en désaccord avec (son) époque”, convoquent pourtant tour à tour la froideur de la Nouvelle objectivité, le Picasso des années vingt, voire les baigneuses de Cézanne. Le peintre, né en 1893 et mort en 1970, sera longtemps à la recherche de son propre style, comme en témoigne l’exposition du Musée de Châteauroux (tél. 02 54 08 33 49), jusqu’au 13 septembre. “Je voudrais faire de la bonne et belle peinture”, déclarait encore Togores en 1926.
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Togores
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°64 du 8 juillet 1998, avec le titre suivant : Togores