Figure de la scène graffiti bellevilloise, Tanc a conservé de ses années de tag le goût du geste et de l’écriture jetée en toute hâte sur son support.
Pour son premier solo chez Wallworks, l’artiste creuse cette veine calligraphique et présente une trentaine d’œuvres versées dans l’écriture automatique. Le procédé lui viendrait tout droit de ses années de lycée : faisant mine de prendre des notes tout en rêvassant, l’artiste aurait alors développé une graphie illisible, sans référent ni objet, mais où seuls compteraient la composition et l’élégance du tracé.
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Tanc, en galerie
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Cet article a été publié dans L'ŒIL n°665 du 1 février 2014, avec le titre suivant : Tanc, en galerie