Patrice Trigano, fidèle à ses amours surréalistes, expose, via une série de peintures et un dessin (prix entre 50 000 et 500 000 euros), une grande figure du mouvement : Roberto Matta (1911-2002).
On retrouve les toiles biomorphiques phosphorescentes de ce peintre chilien qui avait quitté son pays pour la France en 1934 : « De l’exil, je suis passé à l’ ex-il », quelque part entre le connu et l’inconnu, entre la réalité et l’imaginaire. Là où commence la poésie. » Des douze œuvres dévoilées se dégage une poésie cosmique ouvrant la voie à une cinquième dimension.
« Roberto Matta », galerie Patrice Trigano, 4 bis, rue des Beaux-Arts, Paris-6e, tél. 01 46 34 15 01.
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Roberto Matta
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°647 du 1 juin 2012, avec le titre suivant : Roberto Matta