Le Musée des beaux-arts de Dunkerque propose, avec « Retours de mer », une lecture visuelle, acoustique et musicale des rapports complexes qu’entretient l’homme avec la mer.
DUNKERQUE - L’homme a toujours nourri des sentiments ambigus, partagé entre fascination et répulsion, résignation face aux dangers et volonté de conquête, la mer étant tour à tour convoitée, crainte, adulée ou fantasmée. Construite autour de deux pôles, la tragédie et l’élégie, l’exposition a été imaginée par Jean Attali, philosophe, comme « une proposition esthétique » fondée sur trois œuvres phares : La Vague (1869) de Gustave Courbet ; Les Restes de la Méduse (1997) de Valérie Favre, interprétation contemporaine du Radeau de la Méduse de Géricault ; et une séquence d’Alain Resnais intitulée Je t’aime, je t’aime (1968).
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Retours à Dunkerque
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°401 du 15 novembre 2013, avec le titre suivant : Retours à Dunkerque