Comment est née l’idée de ce projet ?
À la faveur de nos anciens travaux, nous estimions que les années 1940 constituaient un véritable continent, analysé savamment par les expositions de Bernard Ceysson et de Maurice Fréchuret ou encore par les thèses de Laurence Bertrand-Dorléac et Serge Guilbaut. Il convenait donc de ne pas réduire le propos au seul face-à-face Paris/New York.
Si vous deviez sélectionner une œuvre exemplaire ?
Récemment acquise par le musée des Beaux-Arts de Lyon et présentée pour la première fois au public à l’occasion de l’exposition, Composition Montrouge (1945) de Bram van Velde n’a rien à envier aux œuvres américaines contemporaines. Si elle exprime également un art individuel attaché à ne parler que de vie intérieure, elle témoigne d’un pessimisme encore plus radical.
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Questions à... Sylvie Ramond
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°608 du 1 décembre 2008, avec le titre suivant : Questions à... Sylvie Ramond