Comment est né ce projet ?
Nous y travaillons depuis 2007 avec trois historiennes de l’art romaines, spécialistes du paysage, Silvia Ginzburg, Francesca Cappelletti et Patrizia Cavazzini. Ce projet est le fruit d’une collaboration entre le Louvre et le Prado, à Madrid. L’exposition devait avoir lieu au Louvre mais elle se tient finalement au Grand Palais pour des questions de calendrier.
Pourquoi se limiter à une période allant de 1600 à 1650 ?
En 1650, le cadre est fixé. Le paysage est alors parvenu à une dignité comparable à la peinture d’histoire et a acquis une place qui ne va plus évoluer jusqu’au xixe siècle, avec l’école de Barbizon puis l’impressionnisme.
S’agit-il d’une première ?
Il existait un précédent datant de 1962, à Bologne. Mais cette excellente exposition avait eu tendance à nier les apports des artistes qui n’étaient pas originaires de Bologne. En ce sens, notre exposition se veut plus fine dans l’appréciation de la réalité romaine.
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Questions à… Stéphane Loire
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°633 du 1 mars 2011, avec le titre suivant : Questions à… Stéphane Loire