Comment est née cette exposition ?
De la découverte en 2000 d’une statuette qui reposait depuis au moins 150 ans sous une fausse identité dans les réserves du musée Henri Martin de Cahors. Son conservateur, Laurent Guillaut, nourrit alors le projet de faire connaître cette pièce identifiée comme celle du dieu Rongo en organisant une exposition autour d’elle. En 2005, il entreprend un voyage à Mangareva avec le plasticien Jean-Charles Blanc. À leur retour à Tahiti, ils nous ont parlé de ce projet auquel nous avons eu envie de nous associer en rassemblant les cinq autres pièces de Rongo dispersées ailleurs.
Quelles ont été les difficultés liées à ce projet d’exposition ?
La première est liée à la nature exceptionnelle de ces statuettes auxquelles nous voulions adjoindre d’autres divinités importantes comme Rao, l’une des plus belles pièces du Quai Branly. Grâce à la convention de partenariat signée avec le musée, le projet s’est concrétisé. L’autre difficulté a été de convaincre le gouvernement polynésien d’en financer la réalisation à Tahiti.
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Questions à... Jean-Marc Pambrun
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°609 du 1 janvier 2009, avec le titre suivant : Questions à... Jean-Marc Pambrun