Comment vous êtes-vous partagé les rôles avec Marin Karmitz ?
Le projet de cette exposition ayant été engagé avant mon arrivée récente, mon rôle a été celui d’accompagnement jusqu’à la réalisation de l’exposition. Avec Joëlle Pijaudier, la directrice des musées de Strasbourg, j’ai surtout été conduite à faire parler Marin Karmitz de ses choix.
Que vous a-t-il appris dans l’art de la mise en scène des œuvres d’art ?
Ce qui est bien avec quelqu’un comme Marin Karmitz, c’est qu’il a occupé les postes les plus divers dans le cinéma. Il a notamment passé sa vie à lire des scénarios et il sait raconter une histoire, avec un début et une fin, tout en laissant la porte ouverte aux autres.
Qu’est-ce qui fait l’originalité du « propos » de Marin Karmitz ?
C’est le produit de toute une histoire. Il y a son côté « Mitteleuropa », très sensible dans le choix des artistes, et puis cette façon de ne pas chercher à donner une leçon sur l’art.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Questions à... Estelle Pietrzyk
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°614 du 1 juin 2009, avec le titre suivant : Questions à... Estelle Pietrzyk