Habituellement posés en appui sur un mur, les monochromes de Cécile Bart oscillent entre opalescence et transparence, peinture et objet.
Pour son installation S. T., à la Chaufferie, espace d’exposition de l’École des arts décoratifs de Strasbourg (jusqu’au 11 juin, tél. 03 88 35 38 58), elle les a placés sur un réseau de câbles, fausses lignes de fuite qui sous-tendent des peintures aux châssis apparents et à la toile translucide. Par-dessous ou par-dessus, le spectateur interroge cet ensemble comme une sculpture ou une composition picturale.
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Peinture suspendue
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°106 du 26 mai 2000, avec le titre suivant : Peinture suspendue