PARIS - Homme engagé, Josef Breitenbach (1896-1984) milite très tôt dans les cercles pacifistes du parti social-démocrate allemand. Également passionné de photographie, il ouvre son premier studio en 1931 et devient à Munich, sa ville natale, le portraitiste attitré des personnalités de la scène et du cabaret. L’insouciance de cette vie bohème est cependant très vite balayée par l’arrivée au pouvoir des nazis, qui l’oblige à quitter le pays. De Munich à New York en passant par Paris, plus de 150 documents d’archives retracent l’exil et la résistance du photographe.
« Josef Breitenbach. Visages de l’exil. Munich, Paris, New York, 1933-1945 », Mémorial de la Shoah, 17, rue Geoffroy-l’Asnier, 75004 Paris, tél. 01 42 77 44 72. Jusqu’au 11 septembre.
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Parcours d’un photographe exilé
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°218 du 24 juin 2005, avec le titre suivant : Parcours d’un photographe exilé