Pendant trois ans, Maxence Rifflet a mené un travail avec des détenus de sept prisons françaises en plaçant au cœur l’architecture à laquelle ils se confrontent quotidiennement.
L’attention portée à la singularité et à la typologie de chaque lieu, aux rencontres et aux situations qu’il génère, conduit à une hétérogénéité des cadres et des conditions de détention, et donc à des contenus visuels très différents les uns des autres. Ce que l’exposition et le livre publié par le Centre d’art de Cherbourg relatent parfaitement.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Pas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €
« Nos Prisons. Maxence Rifflet »,
Le Point du jour, 107, avenue de Paris, Cherbourg-en-Cotentin (50),
www.lepointdujour.eu
Cet article a été publié dans L'ŒIL
n°756 du 1 juillet 2022, avec le titre suivant : Maxence Rifflet