Quand Lucien Hervé découvre l’abbaye du Thoronet, en 1951, il a 41 ans et travaille déjà régulièrement pour Le Corbusier.
Cinq ans plus tard, ses photographies de l’abbaye cistercienne aboutiront au livre La Plus Grande Aventure du monde. « La lumière et l’ombre sont les haut-parleurs de cette architecture de vérité, de calme et de force », écrit Le Corbusier dans l’avant-propos. Soixante-dix ans plus tard, leur présentation pour la première fois au sein de l’abbaye découvre l’étendue de cette série photographique, mais surtout l’esprit qui gouverne la prise de vue chez Lucien Hervé. À savoir exprimer, à travers les volumes, les formes et les matériaux, « la présence de l’homme dans l’architecture ».
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Cet article a été publié dans L'ŒIL
n°756 du 1 juillet 2022, avec le titre suivant : Lucien Hervé