En 1833, Rodolphe Töpffer publie
L’Histoire de M. Jabot,
son premier album d’« histoires en estampes ».
Les historiens considèrent cette date comme celle de la naissance de la bande dessinée, même si l’on en repère des traces bien avant dans l’histoire : le récit de la
Tapisserie de Bayeux
ou les
emakimono
(les rouleaux peints japonais). L’imagerie populaire, dès le XVIIIe siècle, s’inscrit également dans cette histoire des prémices de la BD, avec l’utilisation des phylactères, la division du récit en vignettes et la mise en place de la page en « gaufrier ». C’est ce chapitre de la préhistoire de la BD que le Musée de l’image, spécialiste de l’imagerie populaire, développe dans une exposition aussi savante qu’amusante.
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L’imagerie populaire et la BD
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« L’imagerie populaire aux origines de la bande dessinée »,
Musée de l’image, 42, quai de Dogneville, Épinal (88),
www.museedelimage.fr
Cet article a été publié dans L'ŒIL
n°745 du 1 juillet 2021, avec le titre suivant : L’imagerie populaire et la BD