Les paysages défilent dans la vie de Martin Johnson Heade (1814-1904), renouvelant sans cesse son inspiration. Cet Américain du XIXe siècle voyage beaucoup dans l’est des États-Unis, au Brésil et en Amérique du sud avant de se fixer en Floride. À chaque étape il s’inspire des paysages qu’il côtoie, s’attachant surtout à la composition et aux effets de lumière plus qu’à une représentation exacte du lieu. Natures mortes et paysages de mer dans les années 1860, visions de ses voyages en Amérique du sud dans les années 70 – notamment la série des colibris avec fleurs tropicales – et enfin les magnolias géants peints en Floride à partir de 1883... l’exposition passe en revue ses thèmes de prédilection à travers une soixantaine d’œuvres.
BOSTON, Museum of Fine Arts, jusqu’au 16 janvier.
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Les paysages de Heade
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°510 du 1 octobre 1999, avec le titre suivant : Les paysages de Heade