« Merci, merci, merci » constitue le deuxième et dernier volet d’un projet élaboré autour du thème de la peine de mort dans les démocraties occidentales. La Maison des Arts présente trois installations de l’artiste dublinois Malachi Farrell autour de la notion d’exécution, alors que la Ferme du Buisson, qui coproduit cette exposition, est le théâtre des délits et jugements. Cette réflexion au cœur de l’actualité prend la forme de mises en scène quasi-théâtrales, explosives et inquiétantes, qui ne laissent pas indifférent le spectateur. Sculpteur-électronicien, Malachi Farrell traduit avec ses carcasses de robots sonores, lumineuses et en mouvement, la violence écologique et humaine ainsi que l’ultra-technologie de la mort... L’exposition axée sur les valeurs universelles de dignité humaine, sur l’utopie démocratique aborde également la question de la place de l’autre, du spectateur.
MALAKOFF, Maison des Arts et MARNE-LA-VALLÉE, La Ferme du Buisson, jusqu’au 16 juillet.
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Les exécutions de Malachi Farrell
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°518 du 1 juillet 2000, avec le titre suivant : Les exécutions de Malachi Farrell