À l’instar de cent autres personnes venues d’horizons aussi divers que le cinéma ou l’architecture, la banque ou la télévision, les musées ou la littérature, Germain Viatte a été invité à sélectionner une œuvre dans les collections Barbier-Mueller et à rédiger un petit texte sur l’objet de son choix.
Le sien s’est porté sur cette sculpture de Basse Amazonie (Brésil), présentée, avec le résultat de cette grande consultation (enfin en partie), jusqu’au 2 décembre à la Fondation Mona-Bismarck (Paris XVIe). Si cette réunion de chefs-d’œuvre n’a rien à envier à celle du Pavillon des Sessions, elle ne fait, curieusement, aucune place aux commentaires de ces personnalités, qui trouvent refuge dans le catalogue publié aux éditions Hazan. Plutôt qu’un renouvellement du regard, la prose plus ou moins heureuse de ces critiques amateurs nous convie à écouter notre sensibilité face à ces objets exceptionnels.
L’accès à la totalité de l’article est réservé à nos abonné(e)s
Le regard profane
Déjà abonné(e) ?
Se connecterPas encore abonné(e) ?
Avec notre offre sans engagement,
• Accédez à tous les contenus du site
• Soutenez une rédaction indépendante
• Recevez la newsletter quotidienne
Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans Le Journal des Arts n°113 du 20 octobre 2000, avec le titre suivant : Le regard profane