Cette exposition d’envergure – déjà longuement chroniquée dans L’œil – a pour ambition d’« explorer le caractère profondément humain et sensible » de la sculpture hyperréaliste, née dans les années 1960 aux États-Unis, et qui a connu un important regain d’intérêt dans les années 1990-2000.
Considérée comme une « œuvre d’art en état limite », la sculpture hyperréaliste est ici un moyen de repenser le rapport entre œuvre, artiste et spectateur. Pour ce faire, une quarantaine d’œuvres, réalisées par une dizaine d’artistes internationaux (Duane Hanson, Berlinde De Bruyckere, Saana Murtti,etc.), sont rassemblées dans le patio du musée, au cœur des collections.
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Le rapport entre œuvre, artiste et spectateur
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°766 du 1 juillet 2023, avec le titre suivant : Le rapport entre œuvre, artiste et spectateur