L’exposition « Toni Catany, l’artiste en son paradis » n’est pas seulement une « compilation » des meilleurs tirages de ce photographe majorquin, né en 1942. C’est aussi le portrait d’un esthète que l’on qualifierait volontiers de « romantique », au sein de l’éden qu’il s’est constitué. À Llucmajor où il a grandi, à Barcelone où il vit, et dans les nombreux pays du bassin méditerranéen où il a séjourné. De ses premiers calotypes (1979-1982) à ses récents polaroïds (1994-2000), ses natures mortes, ses vues de sites archéologiques ou ses nus masculins, ici réunis, permettent d’apprécier les différentes facettes d’une œuvre profondément personnelle, imperméable à toutes les modes.
BARCELONE, Museu nacional d’Art de Catalunya, jusqu’au 3 décembre.
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Le paradis de Catany
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Abonnez-vous dès 1 €Cet article a été publié dans L'ŒIL n°521 du 1 novembre 2000, avec le titre suivant : Le paradis de Catany