MARSEILLE
Créateur du festival Photo Phnom Penh, Christian Caujolle connaît bien la scène photographique cambodgienne.
Quarante ans après la prise de contrôle par les troupes vietnamiennes de Phnom Penh, dévastée par les Khmers rouges, l’état des lieux qu’il dresse convoque des créations indissociables des conflits, des exactions et des camps, et, pour les plus jeunes, de la métamorphose sauvage du pays. Des travaux aussi différents que ceux de Mak Remissa sur le génocide ou de Sophal Neak sur la jeunesse pauvre des rizières sont à cet égard particulièrement marquants.
Cet article a été publié dans L'ŒIL n°725 du 1 juillet 2019, avec le titre suivant : Le Cambodge, quarante ans après